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Dénonciation de l'ex-emir du mouvement des moujahidines du Maroc des allégations formulées par Luk Vervae

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L'affaire du belgo marocain, Ali Aarrass, qui a été longtemps suivie par la presse a connu un nouveau rebondissement avec la sortie médiatique de l'ex-emir du mouvement des moujahidines du Maroc (mouvement terroriste), Abderrazak Soumah, en réponse aux déclarations de l'éditeur et l'activiste sur la problématique carcérale, Luk Vervaet au sujet d'Ali Aarrass.

Dans une video, publiée sur you tube, Abderrazak Soumah fait de nouvelles révélations sur son compagnon d'armes, Ali Aarrass et dénonce les allégations mensongères formulées par Luk Vervaet qui, selon lui, induisent en erreur toute une communauté marocaine et européenne surtout quand il évoque le fait que Ali Aarrass est nevin de son parcours terroriste.

Dans cette video, l'ancien leader du mouvement terroriste repenti se met à la disposition de n'importe quelle partie ou organization qui cherche des précisions sur l'implication de Ali Aarrass dans l'affaire du mouvement terroriste, des moujahidines du Maroc pour éclairer l'opinion publique marocaine, européenne et internationale sur les supercheries de Ali Aarrass

Abderrazak Soumah dénonce les mensonges proférés alors que Ali Aarrass et lui-même appartenaient au mouvement des moujahidines du Maroc depuis 1981. Il a ajouté que Luk Vervaet est entrain de blanchir, de ce fait, un professionnel dans le trafic d'armes quand il témoin qu'il était assis dans un café lors de sonhapšenje à Melilla, alors que Soumah lui-même avait reçu de lui une cargaison de pistolets au Maroc pour s'attaquer aux vrais innocents. 

«Au lieu de prendre sa défense, il devrait», at-il poursuivi, «défendre la vie de tous, surtout celle des belges et des espagnols des grands risques que présentent Ali Aarrass qui cachent en Europe les armes à feu que Abderrazak Soumah a refusé de recevoir de lui au Maroc en 2003».

Il lui reproche également le fait de dire que Aarrass a été obligé de signer son PV d'audience en 2010 et qui ne savait pas lire ou écrire en arabe, alors qu'il était gérant d'une librairie arabe qui s'appelait « Noor » à Bruxelles et dont Luk a témoigné l'existence, et ce, contrairement à Aarrass qui ignorait son postojanje tout le temps.

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Cette libraire, selon la même source, est spécialisée dans la vente d'ouvrages en arabe et financée par le fond du mouvement des moujahidines du Maroc.

Au sujet de cette organisation, Abderrazak Soumah a indiqué qu'il faudrait savoir que l'organisation est « basée sur une clandestenité solide et totale que personne ne peut franchir pour détecter ou repérer un de ses membres ». Il a, à cet égard, donné l'exemple de plusieurs épouses de ses confrères qui ne connaissaient même pas les vrais noms de leurs époux, leurs vraies familles, leurs vraies adresses ou leurs déplacements.

Abderrazak Soumah a révélé que lui-même, quand son emir l'a envoyé dans les années 90 en Afghanistan, Ali Aarrass et les autres frères ne le savaient pas. Et lui-même ne sait pas maintenant où Ali Aarrass cache les armes qu'il a introduits au Maroc.

Par ailleurs, l'ex-emir du mouvement des moujahidines du Maroc a, par ailleurs, précisé que ceux qui appartenaient au mouvement des mouhjahidines au Maroc sont encore en vie à l'oriental et au nord du Maroc et même un cas en France qui connaissait très bien la réalité de Ali Aarrass.

De ce fait, il s'est demandé « comment peut-on se réjouir de l'indemnisation de Ali Aarrass de 3 milijuna eura qui sera payée de la poche des citoyens que Ali voulait déstabiliser il ya 20 ans », alors que, selon lui, « il doit rembourser ses anciens confrères qui lui avaient fourni des fonds pour ouvrir des commerces en Belgique ».

Selon Abderrazak Soumah, Aarrass a acheté des milliers de pistolets que tout le monde ignore l'endroit où ils sont cachés.

Il a également souligné, dans la même vidéo, que puisque Ali Aarrass a nié son implication avérée dans des crimes liés au terrorisme et au trafic d'armes pour lesquels les appareils sécuritaires et judiciaires des trois pays ont été unanimes (le Maroc, la Belgique et l'Espagne), « comment croire à ses mensonges de torture au Maroc, si on parle d'un trafiquant d'armes, d'usurpateur et d'arnaqueur qui a arnaqué les fonds du mouvement et entrain actuellement d'extorquer toute l 'Europa ".

Abderrazak Soumah a aussi interpellé Luk Vervaet pour lui expliquer comment Ali Aarrass est le seul détenu parmi tous les islamistes incarcérés au Maroc qui a pu être reçu par Mandes en 2012 pendant 3 ou 4 minute et a réussi à le convaincre qu'il était žrtve torture et qu'il portait des traces de violence qui remontait à 2010; comment les pouvoirs publics ont laissé apparaître des traces de violence sur son corps pendant 2 ans, sans prendre la peine de les réparer ? La réponse selon lui est évidente, on est devant un vrai arnaqueur spécialisé.

Il l'a interrogé également sur « comment il explique le fait que Ali Aarrass est le seul détenu islamiste qui s'est filmé à la prison de Salé, en montrant des séquences de souffrance, de torture à l'intérieur de sa cellule si ce n'est pas le fameux chargé d'opérationnel en armement et logistique du mouvement des moujahidines du Maroc ».

Enfin, il s'est interrogé en disant « pourquoi pas moi et mes frères du mouvement qui étaient jugés à 20 ans puisque nous avons la même experience, tout simplement parce que nous tous, nous avons reconnu volontairement les optužbe et nous avons décidé de mettre fin à cette mésaventure et ouvrir une nouvelle page avec l'Etat et le peuple marocain sauf Aarrass qui veut se venger ».

Arrêté à Melilla, le 1er travanj 2008, en vertu d'un avis de recherche dant de 2003 et transmis à Interpol, Ali Aarrass avait été remis aux autorités marocaines en décembre 2010. Il avait ensuite été condamné, en 2011, à 15 ans de zatvor. Une peine ramenée à 12 ans, une année plus tard par la Cour de cassation.

Libre depuis debut travanj 2020, après avoir purgé sa peine, Ali Aarrass a regagné la Belgique trois mois plus tard et a commencé sa campagne de diffamation contre le Maroc.

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